Signal Quest Hypermyth
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Une ouverture vers un nouvel horizon sonore
Dès les premières notes, Hypermyth de Signal Quest nous plonge dans un univers captivant, mêlant électronique, saxophone et une cacophonie galactique. Cette ouverture audacieuse reflète la palette sonore du trio, composé de Lynn Avery, Cole Pulice et Mitch Stahlmann, et marque leur évolution de l’acronyme LCM vers Signal Quest, soulignant une approche plus mature et exploratoire de l’électro-acoustique.
Un trio soudé par l’amour de la musique
Originaires de Minneapolis et désormais établis à Oakland, les membres de Signal Quest ont enrichi leur collaboration par leurs projets solos distincts. De l’album électro-acoustique « Into the Wish » de Stahlmann aux œuvres saxophoniques astrales de Pulice, chaque contribution individuelle se fond dans une synergie collective captivante.
Une évolution audacieuse et inspirée
Hypermyth construit sur les fondations de leur premier album éponyme, intensifiant les textures et les motifs pour plonger plus profondément dans un océan de sonorités riches et dynamiques. L’album tire une influence notable de la musique des jeux vidéo des années 90, en particulier du jeu d’aventure graphique Myst, créant ainsi une trame sonore qui évoque une errance pixelisée et une exploration introvertie à travers des paysages sonores vastes et pleins de surprises.
Une contribution innovante à la musique électronique
Signal Quest s’insère dans le riche héritage musical de la Bay Area, apportant sa pierre à l’édifice de l’électro-improvisation, un courant déjà nourri par des institutions comme le Mills College, le San Francisco Tape Music Center, et des ensembles tels que le Sonic Arts Union. En empruntant la voie tracée par des compositeurs comme Pauline Oliveros, John Bischoff et David Behrman, Signal Quest repousse les frontières de l’électro-acoustique, explorant de nouveaux territoires audacieux.