Hidden Orchestra To Dream is to Forget
Le
La renaissance d’une vision musicale
Depuis sa création, le producteur et compositeur Joe Acheson, alias Hidden Orchestra, a su élaborer un univers musical audacieux et captivant. À travers des collaborations prestigieuses et une démarche artistique unique, il nous offre une véritable symphonie pour nos sens.
Un équilibre délicat entre électronique et acoustique
La mission initiale de « créer de la musique électronique avec des moyens acoustiques » est restée inchangée. Mais la manière dont Acheson l’atteint est en constante évolution. Le mélange ingénieux de samples sur mesure, d’enregistrements sur le terrain et de compositions soigneusement élaborées donne vie à une vision artistique précise et immersive. Le nouvel album « To Dream is to Forget » est une célébration éclatante de cette démarche.
L’essence de « To Dream is to Forget »
Sorti sous le label nouvellement formé de Acheson, Lone Figures, « To Dream is to Forget » se distingue par sa capacité à condenser des thèmes musicaux en arrangements immédiats, sans trop s’appuyer sur le fieldrecording. Le résultat ? Une collection riche de 10 morceaux originaux qui captivent et fascinent à chaque note.
Les piliers de l’album
Des collaborateurs familiers reviennent, avec des membres de longue date tels que Jamie Graham (batterie), Tim Lane (batterie) et Poppy Ackroyd (violon), ainsi que de nouveaux talents – Jack McNeill (clarinette) et Rebecca Knight (violoncelle). Ensemble, ils donnent vie à la vision musicale d’Acheson, nous offrant une expérience sonore inoubliable.
Une odyssée de rêves et de son
Le titre de l’album, inspiré d’un vers du poète portugais Fernando Pessoa, résume parfaitement son essence. À travers des mélodies envoûtantes, des arrangements audacieux et une fusion de genres, « To Dream is to Forget » nous emmène dans un voyage musical, où rêve et réalité se confondent en une symphonie harmonieuse.
Un voyage à travers les titres
De « Hammered » avec ses nuances sombres à « Skylarks », un éblouissant chef-d’œuvre rythmique, chaque morceau raconte sa propre histoire. « Little Buddy Move » et « Nightfall » nous rappellent les premières œuvres de Four Tet, tandis que « Ripple » et « Broken » évoquent le flair de Amon Tobin. Chaque titre de cet album est une invitation à explorer des territoires musicaux inexplorés, rendant l’écoute d’autant plus passionnante.